Le Bellerin vient de déposer ses valises dans la ville de Melbourne en Australie. Il revient pour Footvaud sur ses débuts au FC Bex accompagné de ses frères jumeaux. L’international tunisien évoque le niveau de la A-League Men qu’il compare à la Super League et de la vie plutôt agréable au pays des kangourous.
Tout d’abord, comment vas-tu ?
Je vais très bien merci, je me plais beaucoup en Australie. Je me sens épanouie dans ma vie personnelle et dans le plan de ma carrière.
Cela fait combien de temps que tu es en Australie ? Et comment tu trouves le niveau footballistique dans ce pays ?
Cela fait maintenant 1 an et demi que je suis en Australie. J’ai été beaucoup surpris par le niveau. C’est un autre football. Beaucoup plus de duels et d’intensité. À l’anglaise un peu… Ça attaque dans tous sens. Je pense que ça a le même niveau que la Super League. Peut-être une ou deux équipes niveau Challenge League mais le reste ont toutes un très bon niveau.
Est-ce que tu apprécies la vie australienne ?
J’adore la vie australienne c’est plus relaxe. Le paysage est magnifique. À Perth c’était vraiment incroyable. Les plages sont superbes. Melbourne c’est plus une grande ville avec beaucoup de choses à faire.
Est ce que tu gardes œil sur le football suisse ?
Oui bien sur je suis toujours le championnat Suisse attentivement. J’ai beaucoup d’amis qui y jouent encore.
Comment s’est passé ton premier match sous tes nouvelles couleurs ?
Franchement ça été vraiment bien. On a joué à la maison dans une belle ambiance. J’ai pu faire mes début dans une équipe qui vise le titre. Melbourne Victory a sûrement les meilleurs fans d’Australie.
Quel souvenir tu gardes de tes premières classes au FC Bex ?
Je garde de très bons souvenirs de mes débuts aux FC Bex. Ça restera toujours dans mon cœur. C’est le club où j’ai fait mes débuts. Je me rappelle des matchs ou je jouais ensemble dans la même équipe avec mes deux frères.
Un dernier mot ?
Je recommande vraiment l’Australie pour des joueurs qui veulent avoir une belle expérience qu’ils n’oublieront sûrement pas.
Rédacteur : Suat Jashari
